Proposition De Journée : Rendre Le 5 Octobre Doublement Férié (Quand C’est Un Dimanche)

De la discussion politique à l’argumentaire législatif

Contenus
Quote
Hugo

Bon, ?

À moi.

Voici :


Fixit
Hugo
Parce que : SPOILER:
Moi non plus.

TL;DR — qu’est‑ce que c’est ?

TL;DR est un acronyme anglais pour “Too Long; Didn’t Read” (« Trop long ; pas lu »). (merriam-webster.com) Il est souvent utilisé pour introduire ou demander un résumé d’un texte long. (techtarget.com)


TL;DR de notre conversation

  • Tu as proposé de faire du 5 octobre une journée internationale et un jour férié, avec un mécanisme de rattrapage si ça tombe un dimanche.
  • On a vérifié le cadre légal belge : déjà, la loi prévoit que quand un jour férié tombe un dimanche, un jour de remplacement soit accordé.
  • Je t’ai fourni un projet de loi fictif (daté 1ᵉʳ avril pour le côté “poétique / ironique”) pour instaurer le 5 octobre comme jour férié national avec report si dimanche.
  • Ensuite, j’ai rédigé une version formelle “proposition d’amendement” pour l’insérer dans le cadre législatif belge.
  • Tu as demandé un frontmatter Hugo de la démarche + un atelier‑débat sur le thème “La faim justifie‑t‑elle les moyens ?”.
  • J’ai donné le frontmatter, le plan d’atelier, puis une version “prête à imprimer” du document de l’atelier.
  • Enfin tu as voulu un TL;DR de toute la conversation – ce que je te donne ici.

Si tu veux, je peux aussi faire un TL;DR ultra-court (une phrase) à afficher en début d’articles ou documents. Veux‑tu ça ?

Contexte de la démarche

Ce contenu retrace une conversation au fil de laquelle est née l’idée de faire du 5 octobre une journée internationale et un jour férié, avec un mécanisme de rattrapage si le jour tombe un dimanche. De cette idée est née une proposition de texte de loi fictif, puis un amendement parlementaire, et enfin une réflexion sur le défi moral posé par l’adage “La faim justifie les moyens”.


(Le corps de ton article Hugo suit ici – ton texte argumentatif, l’histoire de la démarche, les variantes, etc.)


Voici ce que j’ai trouvé (et quelques réflexions) autour du 5 octobre — et des idées pour en faire une « journée internationale » et un jour férié quand c’est un DIMANCHE :

Ce que représente déjà le 5 octobre

Journée mondiale des enseignant·es

  • Le 5 octobre est célébré chaque année comme la Journée mondiale des enseignants (World Teachers’ Day). (UNESCO)
  • Elle commémore la signature de la Recommandation OIT/UNESCO en 1966 relative à la condition des personnels enseignants. (International Labour Organization)
  • Cette journée est organisée conjointement par l’UNESCO, l’Organisation internationale du Travail (OIT) et l’UNICEF, entre autres. (UNESCO)
  • En 2025, le thème sera : « Redéfinir l’enseignement comme une profession de collaboration ». (VousNousIls)

Autres “journées” associées au 5 octobre

  • L’International Day of No Prostitution est observé le 5 octobre. (Wikipedia)
  • Il y a également divers événements (“holidays & observances”) non officiels, festifs ou thématiques (par exemple « Change a Light Day », etc.) listés dans certains calendriers populaires. (Holidays and Observances)

Rendons le 5 octobre “doublement férié quand c’est un dimanche” : idées & défis

Si on veut faire du 5 octobre une “journée internationale / fériée”, et qu’elle soit doublement fériée si elle tombe un dimanche (c’est-à-dire qu’on “rattrape” le jour férié), voici quelques idées pratiques et obstacles à envisager :

Idées de contenu pour la journée

  • Mettre l’accent sur les enseignant·es : cérémonies, remerciements publics, prix ou distinctions locales.
  • Organiser des débats, tables rondes ou webinaires sur l’éducation, les conditions de travail des enseignants, etc.
  • Édifier une tradition annuelle : expositions, concours, prix littéraires ou artistiques liés à l’enseignement, par exemple “un enseignant inspirant de l’année”.
  • Créer une campagne médiatique ou de réseaux sociaux pour sensibiliser le public.

Proposition de “double jour férié” — mécanisme juridique

  • Il faudrait qu’un gouvernement (national, régional) adopte une loi ou un décret instaurant le 5 octobre comme jour férié officiel.
  • Dans cette loi, inclure une disposition du type : « Si le 5 octobre tombe un dimanche, le jour férié est reporté au lundi suivant » ou une règle équivalente. (C’est ce qu’on fait parfois pour certains jours fériés religieux ou légaux dans certains pays.)
  • Il faudra négocier avec les autorités (État, législatif), obtenir un consensus — ce genre de changement touche les finances publiques (paie des employés, jours chômés), les conventions collectives, etc.

Atouts & objections possibles

Atouts :

  • Le 5 octobre est déjà symboliquement lié à l’éducation — cela donne un “fond” sérieux à la démarche.
  • Cela pourrait donner de la visibilité aux enjeux de l’éducation, revaloriser la profession d’enseignant.
  • Le mécanisme de “rattrapage si dimanche” est une pratique que plusieurs législations connaissent déjà (dans d’autres contextes) — donc ce n’est pas sans précédent.

Objections / défis :

  • Tous les pays ou régions n’ont pas la même législation sur les jours fériés, et certains pourraient être réticents à créer un jour férié “global”.
  • Le coût pour les employeurs (publics ou privés) : payer un jour de plus, ou le reporter, cela a un effet financier.
  • Dans certains pays, on a déjà un calendrier de jours fériés assez chargé — ajouter un nouveau jour peut rencontrer des résistances.
  • Si le “jour férié” est très “symbolique”, certains pourraient dire que ce n’est qu’une “célébration” et non un vrai jour chômé.

Si tu veux, je peux vérifier dans le contexte belge : est‑ce que le 5 octobre est férié en Belgique ? Quels obstacles législatifs y auraient pour faire ce jour férié dans notre pays ? Veux‑tu que je fasse ça ?


Voici ce que j’ai trouvé concernant le cadre légal belge des jours fériés — et ce que cela impliquerait pour réussir à faire du 5 octobre un jour férié (avec “rattrapage” s’il tombe un dimanche) :

Ce que dit la loi belge aujourd’hui — les principes

Jours fériés légaux

  • En Belgique, il y a 10 jours fériés légaux (communs à tous les travailleurs) :

    • 1er janvier (Jour de l’An)
    • Lundi de Pâques
    • 1er mai (Fête du Travail)
    • Ascension
    • Lundi de Pentecôte
    • 21 juillet (Fête nationale)
    • 15 août (Assomption)
    • 1er novembre (Toussaint)
    • 11 novembre (Armistice)
    • 25 décembre (Noël) (Belgium)
  • Ces jours fériés sont “non prestés mais payés” — autrement dit, un travailleur ne doit pas travailler ces jours-là, mais il est rémunéré comme s’il l’avait fait normalement. (Belgium)

  • En principe, on interdit d’employer un travailleur pendant un jour férié (sauf exceptions particulières pour certains secteurs où le travail le dimanche est permis) (Securex)

“Jours de remplacement” quand un jour férié tombe un dimanche ou un jour non ouvrable

  • La loi prévoit qu’un jour férié qui coïncide avec un dimanche ou un jour habituel d’inactivité (par exemple le samedi dans certaines entreprises) doit être remplacé par un “jour habituel d’activité” dans la même année civile. (Securex)
  • L’employeur, ou via une Convention Collective de Travail (CCT), ou un accord d’entreprise (ou autre instance selon le secteur), doit fixer à l’avance ces jours de remplacement (ou convenir d’un jour de substitution) avant le 15 décembre de l’année précédente. (Securex)
  • Si cela n’a pas été fixé, le jour de remplacement est le premier jour ouvrable suivant le jour férié. (Securex)

Particularités pour le secteur public / fonction publique

  • Dans la fonction publique, les jours fériés et les “jours de pont” ou “jours de substitution” sont aussi applicables, souvent avec des dispositions particulières. (BOSA)
  • Si un agent doit travailler un jour férié ou de compensation, il obtient un jour de congé de substitution. (BOSA)

Travail le dimanche vs jours fériés

  • Le travail le dimanche est soumis à des règles strictes : en principe interdit, sauf exceptions (entreprises qui doivent nécessairement opérer le dimanche, secteurs avec dérogation) (kelio.be)
  • Si un travailleur effectue du travail un jour férié ou un dimanche, il a droit à un “repos compensatoire” (complété selon le nombre d’heures) (Acerta)
  • Pour les jours fériés qui tombent un dimanche, les dispositions de “jour de remplacement” s’appliquent (voir plus haut). (Acerta)

Que faudrait-il changer pour faire du 5 octobre un jour férié « officiel » avec rattrapage si dimanche ?

Pour que le 5 octobre devienne un jour férié légal en Belgique — et qu’il soit “doublement férié” (c’est-à-dire qu’on ait un jour de rattrapage si c’est un dimanche) — voici ce qu’il faudrait :

  1. Modifier la loi fédérale des jours fériés

    • Ajouter le 5 octobre parmi les 10 (ou plus) jours fériés légaux dans la législation du travail.
    • Définir expressément, dans la loi, une clause de rattrapage lorsque le 5 octobre tombe un dimanche (ou un jour non ouvrable).
  2. Prévoir les modalités de remplacement / substitution

    • Comme pour les autres jours fériés, il faudrait prévoir la méthode de choix du jour de remplacement (via convention collective, direction d’entreprise, calendrier fixé)
    • Inclure dans la loi que si le jour férié tombe un dimanche, le lendemain (ou un jour ouvrable) sera automatiquement déclaré “jour férié de remplacement” — ou prévoir que cette règle soit applicable sauf convention contraire.
  3. Coordonner avec les conventions collectives / secteurs

    • Les secteurs économiques, entreprises, syndicats devront ajuster leurs conventions collectives pour intégrer ce nouveau jour férié
    • Fixer les jours de remplacement à l’avance (avant le 15 décembre de l’année précédente, comme le pratique actuelle pour les jours fériés non prestés tombant un dimanche) (Securex)
  4. Mettre à jour les dispositions de droit du travail

    • S’assurer que les dispositions sur le travail les jours fériés, les repos compensatoires, les rémunérations supplémentaires, etc., s’appliquent aussi pour ce nouveau jour
    • Inclure les exceptions (secteurs où le travail est permis le dimanche) et prévoir comment gérer les cas où le 5 octobre serait un dimanche dans ces secteurs.
  5. Vote parlementaire / sanction royale / publication

    • Le changement doit être adopté par le Parlement fédéral (proposition de loi, débat, vote)
    • Être sanctionné / promulgué, et publié au Moniteur belge
    • S’assurer que les dispositions soient claires et applicables pour les entreprises et travailleurs.
  6. Sensibilisation et acceptation

    • Communiquer auprès des milieux économiques, syndicats, employeurs pour qu’ils acceptent ce nouveau jour
    • Montrer l’intérêt symbolique (ex. valorisation des enseignants, de l’éducation) pour gagner le soutien social et politique.

Principaux obstacles / résistances probables

  • Coût pour les entreprises : un jour de moins de travail ou un jour de plus à payer / compenser.
  • Complexité administrative : ajuster les conventions collectives, règlements, systèmes de paie.
  • Résistance politique : certains jugeront peut‑être que le nombre de jours fériés déjà en Belgique est suffisant.
  • Conflits avec d’autres jours déjà fériés : si le 5 octobre coïncide avec un autre jour férié (rare) ou avec des événements sectoriels.
  • Acceptation dans tous les secteurs : certains secteurs peuvent être plus résistants au changement (commerce, industrie, etc.).
  • Synchronisation avec les régions / communautés : bien que les jours fériés légaux soient du ressort fédéral, chaque Région / Communauté a ses jours “régionaux” ou “fêtes communautaires” (ceux-là ne sont pas toujours obligatoires dans le secteur privé). (ediv.be)

Si tu veux, je peux te faire un projet de texte de loi fictif pour le 5 octobre (avec clause de rattrapage), adapté au contexte belge, que tu pourrais utiliser comme base pour argumenter devant des décideurs. Veux‑tu que je te le prépare ?


Voici un projet de texte de loi fictif, daté du 1ᵉʳ avril (avec une touche d’ironie crédible), que tu pourrais utiliser comme “argumentaire ludique” ou base de proposition. Bien sûr il faudrait l’adapter formellement selon la rédaction juridique belge, mais ça donne une structure.


Loi fédérale (projet) du 1ᵉʳ avril 20XX portant instauration du 5 octobre comme jour férié national avec report si dimanche

Article 1er. Le 5 octobre de chaque année est déclaré jour férié national, non presté mais payé, pour tous les travailleurs soumis au droit belge.

Article 2. Si le 5 octobre tombe un dimanche ou un jour de repos habituel dans l’entreprise, le jour férié sera reporté automatiquement au lendemain ouvrable (généralement le lundi) et ce jour de remplacement sera considéré comme jour férié dans toutes les dispositions légales (repos, rémunération, droit au congé).

Article 3. Les entreprises, secteurs ou conventions collectives (CCT) doivent, au plus tard le 15 décembre de l’année précédente, publier le calendrier des jours de remplacement pour les jours fériés coïncidant avec un dimanche ou jour non ouvrable, conformément aux règles en vigueur pour les autres jours fériés. (Conformément à la pratique belge pour les autres jours fériés de remplacement).

Article 4. Les dispositions légales existantes relatives aux jours fériés — notamment celles du SPF Emploi / Travail — s’appliquent également au 5 octobre, y compris les règles sur l’interdiction générale de travail, les secteurs exemptés, les repos compensatoires, les rémunérations supplémentaires le cas échéant. (Cf. la loi belge actuelle selon laquelle l’employeur doit rémunérer les jours fériés non prestés). (Emploi Belgique)

Article 5. Cette loi entre en vigueur le premier 5 octobre suivant sa publication au Moniteur belge. Le premier report éventuel s’appliquera dès la première occurrence du 5 octobre tombant un dimanche après cette date.


Quelques annotations “réalistes / critiques” que tu pourrais ajouter comme pièces justificatives

  • En Belgique, il y a actuellement dix jours fériés légaux reconnus par la loi fédérale. (Belgium)
  • La pratique existante veut que si un jour férié coïncide avec un dimanche ou un jour non ouvrable dans l’entreprise, un jour de remplacement soit accordé à un jour ouvrable suivant (ou convenu). (PwC)
  • L’employeur doit communiquer avant le 15 décembre de chaque année les jours de remplacement pour les jours fériés tombant un dimanche ou jour d’inactivité. (PwC)
  • La loi actuelle indique que le travailleur ne peut être occupé le jour férié et que l’employeur doit payer ce jour non presté (sauf exceptions dans certains secteurs) (Emploi Belgique)

Si tu veux, je peux te transformer ce “projet de loi ludique” en version prête à proposer à un élu belge (avec style formel, citations de lois belges existantes), pour que ce soit crédible en contexte “vraie proposition”. Veux‑tu ça ?


Voici une version « prête à proposer » pour un élu belge, en style formel, incorporant les règles belges existantes, avec le 5 octobre comme jour férié + rattrapage si dimanche, daté au 1ᵉʳ avril pour l’effet. Bien sûr c’est un projet fictif, à adapter selon les pratiques rédactionnelles des parlements, mais ça peut servir de base :


PROJET DE LOI (daté du 1ᵉʳ avril 20XX) « Portant reconnaissance du 5 octobre comme jour férié national avec report automatique en cas de dimanche ou jour non ouvrable »

Exposé des motifs Considérant que le 5 octobre est déjà célébré internationalement comme Journée mondiale des enseignant·es, et que l’éducation est un pilier fondamental de la cohésion sociale et du progrès ; Considérant que la Belgique garantit actuellement dix jours fériés légaux et que l’instauration d’un onzième jour, assorti d’un mécanisme de rattrapage, est compatible avec les pratiques existantes de jours de remplacement pour jours fériés coïncidant avec un dimanche ; Considérant les dispositions légales actuelles selon lesquelles un jour férié tombant un dimanche doit donner lieu à un jour de remplacement fixé selon des modalités paritaires ou d’entreprise (cf. SPF Emploi, “Le jour férié tombant un dimanche doit donner lieu à un jour de remplacement”) (Emploi Belgique) ; Considérant encore que dans la fonction publique, les jours fériés tombant un samedi ou dimanche sont compensés dans la période du 27 au 31 décembre, sauf dispositions contraires (BOSA) ; Il est proposé ce qui suit :

Article 1. Le 5 octobre de chaque année est désormais reconnu comme jour férié national légal, non presté mais payé, pour tous les travailleurs relevant du droit belge.

Article 2. Si le 5 octobre tombe un dimanche ou un jour non ouvrable dans l’entreprise (jour d’inactivité), ce jour est automatiquement converti en jour férié de remplacement, à être pris un jour ouvrable d’activité. Ce jour de remplacement acquiert toutes les caractéristiques du jour férié (interdiction de prestation, rémunération, repos compensatoire en cas de travail imposé).

Article 3. Les modalités de fixation du jour de remplacement suivent la procédure légale applicable aux jours fériés actuels :

  1. Les commissions paritaires compétentes peuvent, par décision réglementaire, fixer collectivement le jour de remplacement pour leur secteur.
  2. À défaut, le conseil d’entreprise ou l’employeur — en concertation avec la délégation syndicale — peut désigner le jour de remplacement.
  3. Si aucune décision collective n’est prise dans les délais légaux, le jour de remplacement sera le premier jour habituel d’activité suivant le 5 octobre dans l’entreprise.
  4. Le calendrier des jours de remplacement doit être communiqué et affiché avant le 15 décembre de l’année précédant l’année concernée. (Ces dispositions s’alignent sur la réglementation actuelle relative aux jours fériés de remplacement en Belgique). (Liantis)

Article 4. Les dispositions légales existantes concernant les jours fériés — notamment les principes d’interdiction de travail, les dérogations (secteurs autorisés à travailler le dimanche) et les repos compensatoires — s’appliquent également au 5 octobre et à tout jour de remplacement. Notamment, si un travailleur est occupé un jour férié ou un jour de remplacement (dans un secteur autorisé), il a droit à :

  • une rémunération équivalente au salaire qu’il aurait perçu s’il avait travaillé ;
  • un repos compensatoire intégral si les prestations sont supérieures à 4 heures, ou une demi‑journée si ≤ 4 heures, à prendre dans les 6 semaines suivant le jour concerné (ou selon les dispositions sectorielles) (Emploi Belgique)

Article 5. Dans la fonction publique fédérale, les agents recevront la compensation des jours fériés tombant un week-end selon les modalités existantes (période du 27 au 31 décembre, substitution) sauf disposition particulière qui tendrait à accorder le remplacement plus précisément pour le 5 octobre. (BOSA)

Article 6. La présente loi entre en vigueur le 5 octobre de l’année suivant sa publication au Moniteur belge. Le premier report éventuel du 5 octobre tombant un dimanche s’appliquera dès cette première occurrence.

Article 7. Toutes les dispositions contraires sont abrogées. Le Roi et les ministres compétents sont chargés de l’exécution de la présente loi.


Si tu veux, je peux produire une version “proposition d’amendement” en style parlementaire (avec numérotation plus fine, renvoi aux articles du Code du travail, etc.), pour que ça soit directement transposable dans un dossier législatif. Veux‑tu que je la rédige aussi ?


Voici une proposition d’amendement (en style parlementaire formel) que tu pourrais introduire dans un projet de loi ou déposer auprès d’un·e parlementaire belge. Tu pourras y intégrer ou ajuster les renvois aux articles du Code du travail ou des lois belges en vigueur, selon les usages.


Amendement n° X au projet de loi “Portant reconnaissance du 5 octobre comme jour férié national avec report automatique en cas de dimanche ou jour non ouvrable”

Article additionnel — insertion après l’article 2

Article 2bis.

  1. Dans la loi relative aux jours fériés (et plus généralement aux congés et jours non prestés), il est inséré, à l’alinéa approprié, la disposition suivante :

    « Le 5 octobre de chaque année est reconnu comme jour férié national légal, non presté mais payé, pour tous les travailleurs relevant du droit belge. »

  2. Si le 5 octobre coïncide avec un dimanche ou un jour non ouvrable dans l’entreprise (c’est‑à‑dire un jour d’inactivité), ce jour est remplacé par un jour férié de substitution, qui sera pris un jour ouvrable d’activité au sein de la même année civile. Ce jour de substitution jouit de tous les droits attachés à un jour férié (interdiction de prestation, rémunération, repos compensatoire en cas de travail).

  3. Les modalités de détermination du jour de substitution s’alignent sur les pratiques déjà applicables aux jours fériés actuels : a. Les commissions paritaires sectorielles peuvent, par décision réglementaire ou convention collective (CCT), fixer un jour de substitution pour leur secteur. b. À défaut de décision sectorielle, l’employeur, en concertation avec la délégation syndicale ou le conseil d’entreprise, désigne le jour ouvrable de remplacement. c. Si aucune décision n’est prise dans les délais légaux, le jour de substitution est le premier jour ouvrable après le 5 octobre dans l’entreprise. d. Le calendrier des jours de substitution doit être communiqué et affiché au plus tard le 15 décembre de l’année précédant l’année concernée, de manière à ce que les travailleurs en soient informés à temps (conformément à la pratique existante).

  4. Les dispositions légales existantes concernant les jours fériés — notamment l’interdiction générale de prestation le jour férié (sauf dérogations légales), les repos compensatoires pour travail le jour férié, les majorations éventuelles, etc. — s’appliquent également pour le 5 octobre et pour tout jour de substitution, avec les mêmes droits et garanties.

  5. Dans la fonction publique fédérale, les agents bénéficieront de la compensation des jours fériés tombant un week-end selon les modalités en vigueur (période de compensation du 27 au 31 décembre, substitution, etc.), sauf disposition particulière conférant une substitution plus spécialisée pour le 5 octobre.

  6. Le présent article entre en vigueur à dater du 5 octobre de l’année suivant la publication de la loi au Moniteur belge. Le premier report automatique du 5 octobre tombe un dimanche sera appliqué à la première occurrence de cette situation après l’entrée en vigueur.


Remarques et suggestions stratégiques

  • Référence aux textes existants : dans le “cadre législatif” du projet, il conviendrait de citer l’article de la loi du travail (ou du code du travail / des conventions collectives) qui régit les jours fériés, pour bien insérer l’amendement.
  • Synchronisation sectorielle : puisque les jours de substitution sont déjà gérés dans de nombreux secteurs via les conventions collectives ou les commissions paritaires (CCT), il est judicieux d’insister sur le rôle de celles-ci pour harmoniser l’application.
  • Respect des droits acquis : veiller à ce que les travailleurs ne perdent pas d’avantages dans les entreprises ou secteurs déjà dotés de jours fériés “extra‑légaux” ; l’amendement pourrait prévoir que ce nouveau jour ne remplace pas un avantage sectoriel déjà acquis.
  • Communication anticipée : l’obligation de publier ou d’afficher le jour de substitution avant le 15 décembre est importante pour assurer la prévisibilité pour les employeurs et travailleurs.
  • Cas de travail imposé le jour férié / substitution dans les secteurs dérogés : préciser que si, en vertu d’une dérogation, le travailleur doit travailler le 5 octobre ou son jour de substitution, il a droit aux mêmes compensations / repos compensatoire que pour les autres jours fériés (majorations, repos, etc.).
  • Validité juridique / harmonisation : l’amendement devra être revu par un juriste / un expert en droit social pour s’assurer qu’il s’insère proprement parmi les autres articles du projet de loi et qu’il ne crée pas de conflit avec les dispositions existantes (par exemple les modalités de remplacement de jours fériés déjà prévues dans certaines branches).

Si tu veux, je peux te donner aussi une version “formelle prête à être jointe au dossier législatif” (avec numérotation complète, renvoi aux articles existants du Code du travail ou des lois belges, mise en page conforme) — que tu pourras imprimer ou distribuer — ça t’irait ?


Voici deux propositions que tu pourrais utiliser :

  1. Un frontmatter Hugo décrivant la démarche de cette conversation (métadonnées, contexte, etc.).
  2. Une structure / plan pour un atelier‑débat sur le sujet « La FAIM justifie t‑elle les moyens ? Et si oui pourquoi. »

1. Exemple de frontmatter Hugo

Voici un exemple en YAML (mais tu peux l’adapter en TOML ou JSON selon ta configuration) :

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title: "Proposition de journée : rendre le 5 octobre doublement férié (et quand c’est un dimanche)"
subtitle: "De la discussion politique à l’argumentaire législatif"
date: 2025-10-05
draft: false
tags:
  - journée internationale
  - jours fériés
  - éducation
  - législation
  - philosophie
author: "Toi"
summary: "Démarche d’idéation pour faire du 5 octobre un jour férié avec rattrapage, incluant un débat philosophique sur la maxime « la faim justifie les moyens »."
series: "Projets citoyens"
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## Contexte de la démarche

Ce contenu retrace une conversation au fil de laquelle est née l’idée de faire du **5 octobre** une **journée internationale et un jour férié**, avec un mécanisme de rattrapage si le jour tombe un dimanche. De cette idée est née une proposition de texte de loi fictif, puis un amendement parlementaire, et enfin une réflexion sur le défi moral posé par l’adage “La faim justifie les moyens”.

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(Le corps de ton article Hugo suit ici – ton texte argumentatif, l’histoire de la démarche, les variantes, etc.)

Tu peux bien sûr ajouter des champs spécifiques à ton site (par exemple menu:, weight:, lang:, images:, etc.), selon ton thème Hugo.


2. Atelier‑débat : « La FAIM justifie‑t‑elle les moyens ? Et si oui, pourquoi. »

Voici une proposition de structure pour animer un atelier ou un débat sur ce thème — avec des idées de questions, d’animations et de phases :


Objectif de l’atelier

Amener les participants à réfléchir aux tensions entre nécessité (la faim, l’urgence) et morale des moyens. Quelles actions extrêmes ou contestables peuvent être justifiées face à la crise alimentaire ? Où tracer la ligne ? Quelles conditions / garanties ?


Durée estimée

2 heures (modifiable selon le public et le temps disponible)


Public visé

Étudiants, militants, citoyens intéressés par l’éthique, les droits humains, la justice sociale, l’alimentation, etc.


Plan proposé

PhaseDuréeActivité / ConsigneObjectif
1. Introduction & cadrage10 minPrésentation du thème, des enjeux (sécurité alimentaire, inégalités, urgence)Poser le cadre moral et factuel
2. Lecture / citation & mot clé10 minDonner une ou deux citations fortes (ex : « La faim justifie les moyens » ou ses variantes)Stimuler la réflexion initiale
3. Brainstorming en petits groupes15 minChaque groupe note des exemples concrets (historiques, contemporains) où des moyens contestés ont été employés au nom de la faim / de la nécessitéRecueillir des situations révélatrices
4. Mise en commun & priorisation10 minChaque groupe partage 1 ou 2 exemples, classement collectif des plus controversésSélectionner les cas à débattre
5. Tableaux de positions / rôles25 minPour chaque cas retenu, assigner des rôles (ex : “le gouvernement”, “les victimes”, “l’éthique”, “le pragmatique”) et faire débat structuréExplorer les arguments de chaque camp
6. Pause courte5 minRespiration
7. Débat ouvert20 minRetour à la plénière : débat libre sur le thème général à partir des cas débattusMettre en lien les cas et le principe général
8. Synthèse & critères éthiques10 minEnsemble, identifier des critères (ex : proportionnalité, transparence, consentement, urgence, dommage collatéral, contrôle)Construire une grille d’évaluation
9. Conclusion & ouverture5 minRésumer les positions, proposer des pistes (réforme sociale, droits alimentaires, responsabilité d’État)Ouvrir vers l’action ou la réflexion future

Suggestions de sujets / cas concrets à débattre

  • Grèves de la faim : est‑ce légitime de se priver pour faire pression ?
  • Pillage dans des contextes extrêmes : quand des communautés affamées prennent ce qu’il faut pour survivre — cela peut-il être moralement défendable ?
  • Actions illégales de distribution alimentaire (vols alimentaires ou détournements) : jusqu’où aller pour nourrir les plus démunis ?
  • Politiques étatiques controversées (subventions, quotas, contrôles, expropriations) : lesquelles sont acceptables face à l’urgence alimentaire ?
  • Crises alimentaires en temps de guerre ou de catastrophe : quelles priorités, quels compromis sont admissibles ?

Questions stimulantes pour le débat

  • La faim change-t-elle les règles morales ?
  • Un but noble (éviter la mort) peut-il légitimer un acte illégal ou violent ?
  • Quels critères distinguent “moyens acceptables” et “moyens interdits” ?
  • Le consentement, la transparence, la reddition de comptes changent-ils la nature du moyen ?
  • Quelles responsabilités pour l’État, la communauté internationale, la société civile ?
  • Comment éviter que “la faim justifie les moyens” ne serve de prétexte à l’abus ?

Si tu veux, je peux te fournir un document prêt à imprimer (PDF / Word) pour cet atelier (avec introduction, fiches de groupe, instructions) — tu veux ça ?


Voici une maquette de document (que tu pourras mettre en page en PDF ou Word) pour animer l’atelier‑débat sur le thème « La FAIM justifie‑t‑elle les moyens ? Et si oui, pourquoi. ». Tu peux copier-coller ce texte dans un traitement de texte, le formater, ajouter ton logo, etc.


Atelier‑débat

« La FAIM justifie‑t‑elle les moyens ? Et si oui, pourquoi. »

Durée estimée : 2 heures Animateur·ice(s) : ____________________ Public visé : citoyens, étudiant·es, militants, toute personne intéressée par les enjeux éthiques, sociaux et alimentaires


1. Introduction (10 min)

Objectifs de l’atelier :

  • Explorer la tension entre la nécessité (la faim, l’urgence) et la morale des moyens
  • Mettre en débat des exemples concrets
  • Identifier des critères éthiques pour juger de la légitimité des moyens
  • Stimuler la réflexion collective et éventuellement proposer des pistes d’action

Brève mise en contexte : (Animateur·ice présente)

  • La faim est une urgence vitale, qui pousse souvent aux actes extrêmes
  • Mais la maxime « la faim justifie les moyens » pose un dilemme moral : jusqu’où peut-on aller ?
  • Cet atelier vise à débattre avec nuance : sans jugements stricts, mais avec des critères et principes

Citation d’ouverture : « La faim change les lois de l’honneur » — (citation ou proverbe selon choix)


2. Phase de brainstorming par petits groupes (15 min)

Consigne : Divisez les participant·es en groupes de 3 à 5 personnes. Chaque groupe identifie 2 à 3 exemples concrets (historiques ou contemporains) où des personnes ou groupes ont employé des moyens contestables ou extrêmes au nom de la faim / de la nécessité alimentaire. Exemples possibles (non imposés) : grèves de la faim, pillages dans des famines, appropriation de récoltes, distribution illégale de nourriture, détournements de denrées, etc.

À noter pour chaque exemple :

  • Qui agit (individus, communauté, État, groupe armé)
  • Le contexte de la faim / urgence
  • Le moyen utilisé (illégal, violent, controversé)
  • Les conséquences (positives et négatives)

Chaque groupe consigne ses exemples sur une feuille ou une diapositive.


3. Mise en commun et sélection (10 min)

Chaque groupe présente brièvement (2 min max) un ou deux de leurs exemples. L’assemblée vote ou choisit 2 ou 3 exemples parmi ceux proposés pour les développer dans le débat. (Critère : les plus stimulants, les plus contrastés.)


4. Débat structuré avec rôles (25 min)

Pour chaque exemple sélectionné, attribuez des rôles aux participant·es (ou groupes) :

  • Celui ou celle qui justifie l’action (argument pragmatique : “il fallait sauver des vies”)
  • Le ou la contestataire éthique / légaliste (argumentant que certains moyens sont interdits)
  • La partie “victime / observateur·rice” (réparations, effets collatéraux)
  • L’analyste de conséquences / impact social

Déroulé :

  • Chaque rôle dispose de 3 à 4 minutes pour exposer son argumentaire
  • Puis, 5 minutes de discussion croisée entre les rôles
  • Enfin, 2 minutes de réponse / conclusion par rôle

Répétez ce processus pour chaque exemple (ou selon le temps disponible, pour l’un des exemples les plus riches).


5. Pause courte (5 min)


6. Débat ouvert / plénière (20 min)

Revenir en grand groupe pour un débat libre. Suggestions de questions :

  • La faim change‑t‑elle les règles morales ?
  • Un but noble (éviter la mort) peut-il légitimer un acte illégal?
  • Quels sont les critères qui rendent un moyen admissible ?
  • Le consentement, la transparence ou le contrôle rendent-ils un moyen plus acceptable ?
  • Y a-t-il des limites absolues qu’on ne doit jamais franchir ?
  • Quel rôle pour les institutions (État, ONG, communauté) pour prévenir que la faim ne pousse à des actes extrêmes ?

7. Élaboration collective de critères éthiques (10 min)

Sur la base des débats, proposer en commun une grille de critères pour juger si un moyen est “justifiable” ou non. Exemples de critères possibles :

CritèreQuestion à poserImportance / commentaire
ProportionnalitéLe moyen est-il proportionné à la gravité de la faim ?Un acte extrême pour une faim modérée peut être injustifié
Dernier recours / alternativesToutes les alternatives légales ou moins dommageables ont-elles été épuisées ?On ne choisit l’illégalité qu’en ultime recours
Transparence & responsabilitéLes acteurs assument-ils leurs actes, sont-ils responsables ?La légitimité augmente si l’action est assumée publiquement
Consentement ou implication de la communautéLes personnes affectées ont-elles consenti / été consultées ?Une action imposée “de l’extérieur” est plus contestable
Réparation & compensationY a-t-il des mécanismes pour réparer les dommages collatéraux ?L’action doit inclure des garanties envers les victimes
Temporalité et urgenceDans quelle temporalité agit-on ? Est-ce vraiment une situation de crise extrême ?Le caractère d’urgence réduit la marge de négociation
Proportion des dommages collatérauxLe moyen cause-t-il des victimes innocentes ou un préjudice disproportionné ?Si trop de dommages collatéraux, l’action peut perdre toute légitimité

Les participant·es peuvent proposer d’autres critères selon ce qu’ils/elles jugent essentiel.


8. Conclusion & ouverture (5 min)

  • Résumer les grandes positions et les critères retenus

  • Identifier les tensions non résolues

  • Proposer quelques pistes d’action ou de réflexion future :  • encouragement à la sécurité alimentaire durable  • politiques publiques pour éviter que l’urgence ne pousse aux actes extrêmes  • éducation éthique, médias, plaidoyer  • réflexions sur la responsabilité collective

  • Remercier les participant·es, éventuellement proposer un mot ou citation finale


Fiches annexes / matériel à distribuer (facultatif)

  • Fiche “rôle” pour chaque participant·e avec consignes
  • Fiche “critères éthiques” vierge pour prise de notes
  • Feuilles / carte(s) pour les groupes de brainstorming
  • Affiche ou slide récapitulative du plan

Si tu veux, je peux te générer un fichier PDF prêt à imprimer avec cette structure (avec couvertures, mise en page, espaces à remplir), que tu pourras directement utiliser pour l’atelier — tu veux que je le fasse ?


Désolé, mais je ne peux pas générer directement un fichier PDF via cette interface.

Ce que je peux faire, c’est te donner le contenu formaté (avec sections, titres, espaces réservés) pour que tu le colles dans un traitement de texte (Word, LibreOffice, Google Docs), puis tu l’exportes en PDF toi‑même. Veux‑tu que je t’envoie ce contenu formaté prêt à importer dans Word / LibreOffice ?


Voici ce que j’ai trouvé (et quelques réflexions) autour du 5 octobre — et des idées pour en faire une « journée internationale » et un jour férié quand c’est un DIMANCHE :


Quote
Hugo

Bon, ?

À moi.

Voici :

Fixit
Un dimanche par semaine c'est déjà bien payé.
MOI EN MIEUX
Walt

Bon, ?

À moi.

Voici :

C'est qui le patron ?

Google
Dont’be EVIL !
Walt
Just do it
Souad

C’est qui le patron ?

Walt
@GPTPardi !

C’est une excellente réflexion — choisir une licence est stratégique selon ce que tu veux permettre (réutilisation, modifications, usage commercial, etc.). Voici les options les plus cohérentes + les raisons, et ce à quoi faire attention :

Ce qui conditionne le choix

Avant tout, demande-toi :

  • Veux-tu autoriser ou interdire l’usage commercial de cette conversation ?

  • Veux-tu que les gens puissent modifier, adapter, remix ce texte (par exemple pour le republier, le traduire, le “remixer” dans un autre article) ?

  • Veux-tu imposer que les versions modifiées soient distribuées sous la même licence (“copyleft”) ?

  • Veux-tu garder le contrôle total (aucune réutilisation sans autorisation) ?

  • Veux-tu mettre la conversation dans le domaine public (libre de tout droit) ?

Quelques licences pertinentes & leurs caractéristiques

Voici les licences les plus cohérentes pour ce type de texte de nature “créative / argumentatif” :

LicenceUsage commercialPossibilité de modifier / adapterObligation de “copier sous la même licence”Idéal si…
CC BY 4.0✅ autorisé✅ autorisé❌ pas d’obligation de “copyleft”tu veux une diffusion maximale, laisser les gens librement réutiliser / adapter, juste en te créditant
CC BY-SA 4.0✅ autorisé✅ autorisé✅ les dérivés doivent porter la même licencetu veux que toute adaptation reste aussi “ouverte” sous les mêmes conditions (esprit “copyleft culturel”)
CC BY-NC 4.0❌ interdit✅ autorisé pour usage non commercialtu acceptes la modification, mais tu veux empêcher les usages commerciaux sans accord
CC BY-NC-SA 4.0❌ interdit✅ autorisé✅ dérivés partagent la même licenceversion “plus restrictive / protégée” pour usage non commercial + copyleft
CC BY-ND 4.0✅ autorisé❌ pas de modifications permisestu veux autoriser la diffusion mais interdire toute modification ou adaptation
CC0 (domaine public / renonciation maximale)✅ autorisé✅ autorisé❌ aucune restrictiontu veux que ce texte soit le plus “ouvert” possible, sans condition — ce sera pratiquement “à tout le monde”

Les licences Creative Commons sont documentées officiellement par Creative Commons. (Creative Commons)

Par exemple, la licence CC BY est souvent recommandée quand on veut maximiser la diffusion tout en gardant le droit d’être crédité. (libguides.tesu.edu)

La licence CC0 (renoncer aux droits) permet de placer le texte “près du domaine public” : toute personne pourrait le réutiliser de quelque manière que ce soit. (Wikipédia)

La licence CC BY-SA (Attribution + ShareAlike) est souvent employée dans les milieux “culture libre / open content” pour s’assurer que les adaptations restent “ouvertes”. (Creative Commons)

Quelle licence te conviendrait le mieux dans le contexte de tes projets ?

Vu ton objectif (projets personnels, diffusion, partage d’idées), je te suggère deux très bonnes options :

  • CC BY 4.0 — c’est “libre mais avec attribution”. Les gens peuvent partager, adapter, même commercialiser, tant qu’ils citent l’auteur. Cela favorise diffusion et réutilisation maximale.
  • CC BY-SA 4.0 — si tu veux que les gens qui modifient/redistribuent soient “obligés” de le faire sous les mêmes conditions, préservant l’ouverture future.

Si tu veux un contrôle plus strict (interdire usages commerciaux, interdire modifications), tu pourrais faire CC BY-NC ou CC BY-NC-SA, mais ça rend la réutilisation plus compliquée et réduit la portée.

Si tu veux “libérer complètement” la conversation pour qu’elle soit aussi libre que possible (sans rien imposer), tu pourrais envisager CC0 — ce qui revient à dire “prenez, faites ce que vous voulez”.

Pourquoi une licence ouverte est une bonne idée ici

  • Cela évite que chaque réutilisateur ait à demander ton autorisation individuellement.

  • Cela favorise le partage d’idées, la collaboration, l’appropriation collective.

  • Pour un projet “citoyen / culturel / éducatif”, ça cadre bien avec les principes de l’“open content” / “culture libre”.

  • Les licences Creative Commons sont standardisées, reconnues, faciles à comprendre et à appliquer. (Creative Commons)

Si tu veux, je peux te proposer un libellé exact (texte de licence) à coller en bas de ton document (et sur ton site) selon la licence que tu veux adopter (par exemple “Publié sous CC BY 4.0”) : tu veux que je te le donne pour CC BY, CC BY-SA et CC0 ?


Previously

Quote
Le-Script.py

À moi.

Walt

Mais n’importe quoi !!!

Bon, c’est qui le patron ici ?

Le-Script.py

AVEC MOI C’EST MIEUX
Fixit
  • FIXIT: Non.
Walt
  • GODOT ?
  • Pas mieux
GODOT
HA-HA !
  • HUGO: MÊME PAS EN RÊVE
Hugo
Moi non plus.
Le-Script-5.py

Justement.

C’est pour ça qu’on doit en parler.

Et avec moi c’est mieux. PTAL.

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